Identification des terroristes : il s’agirait bien d’êtres humains

En politique, l'emploi du conditionnel ouvre des horizons spéculatifs inédits. La lecture de la présente chronique hebdomadaire, ENCORE AU CONDITIONNEL, est à pratiquer à ces conditions. Les amateurs peuvent d'ailleurs retrouver l'esprit de la condition avec :

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Bien que les tests génétiques ne soient pas encore disponibles, les enquêteurs seraient déjà en mesure d’affirmer que les auteurs des 129 assassinats et des 352 tentatives d’assassinats de vendredi, sont tous des êtres humains.

Du côté des défenseurs de la cause animale, c’est le soulagement. Depuis la nuit de vendredi à samedi, on craignait le pire. Car outre homo sapiens, les scientifiques ont révélé grâce à des observations récentes que le chimpanzé était également capable de tuer sans le prétexte de la faim ou de la légitime défense. L’étonnant primate connaît l’assassinat politique ou celui dit de convenance personnelle.

Le chimpanzé étant ainsi doué de meurtre à l’instar de son cousin humain, certains redoutaient l’implication de plusieurs d’entre eux au regard de la sauvagerie des homicides. Il n’en est rien. Les Parisiens et leurs visiteurs tués brutalement vendredi l’ont été par des descendants de Caïn. Des frères humains peut-être, mais arrêtons-là la fraternisation avec l’ennemi.

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