La grande leçon du Réveil de la force, le dernier opus de la mondialement célèbre et culte saga Star Wars n'est pas dans le message de la bande-annonce signalant aux chalands que tout sera vrai au bout du compte, ni dans le demi-million de tickets pré-vendu, ni encore dans les témoignages de satisfaction des premiers spectateurs, toutes tranches d'âge confondues, sorties des premières séances de la journée inaugurale, non, la principale leçon donnée par ce film est ailleurs...
Dans le titre rédigé par la plupart des rédactions et critiques de cinéma à la façon d'un titre en langue anglaise, en mettant des capitales à chacun des mots. Le Réveil de la Force n'est plus Le réveil de la force, comme le voudrait la strict application des règles typographiques françaises, ou Le réveil de la Force, si l'on considère la force comme un nom propre.
Ce détail signale que le dernier Star Wars, en plus d'être un mythe vivant, une actualité cinématographique, un événement commercial, un tendance sociétale, est aussi et surtout une culture à l'empreinte puissante. Faut-il pour autant sonner le tocsin et s'alarmer de la monopolisation des esprits par ce spectacle total ? Pas sûr, puisqu'à la fin, Tout est bien qui finit bien...